Aurillac - Niort
- 30 juillet 2018
Ce matin, c’est le jour du retour vers Rennes. Briefing météo qui n’annonce rien de bien vers là où je dois aller.
Je fais mes adieux à l’équipe d’organisation en les remerciant pour tout le travail que nous leur avons donné et je me dirige sur le parking vers mon avion non sans aider quelques-uns à pousser leur machine pour les décoller de l’herbe molle.
Les Rafale et Alphajet s’en vont, en faisant un dernier passage basse altitude à pleine vitesse dans un bruit assourdissant.
Il est 11H00 et je m’apprête à partir quand des largages de parachutistes ont lieu. Mon départ est donc reporté jusqu’à ce qu’ils aient terminé. Finalement, vu l’heure, je déjeune avec le dernier panier repas du HOP! Tour et je décolle à 12H28.
Je me pose à Niort après 1H50 de vol, pour refaire le plein, me reposer et prendre le dernier bulletin météo car je ne suis pas confiant sur les conditions météo vers le Nord.
Finalement, je décide de ne pas prendre de risque et préfère rester à Niort. Je mets le DR400 au hangar et un gars de l’aérodrome a la gentillesse de m’emmener à l’hôtel où j’ai réservé une chambre pour la nuit.
Demain, la météo s’annonce plus favorable, je reprendrai ma route et je me serai reposé, car mine de rien, 15 jours de vie collective, ça use et je suis vanné.
Le VOR de Limoges vu des airs. C’est une installation qui permet de garder un cap en vol (voir le fonctionnement de l’instrument dans l’annexe du site).